Les apprenantes et apprenants du Parcours « Former pour lire, écrire, agir» ont lu un article du journal Vite Lu du mardi 19 janvier. L’article parlait d’un boulanger qui veut la liberté pour un gamin. Il a fait la grève de la faim pour pouvoir garder son apprenti guinéen à la boulangerie.
Nous avons cherché des mots en lien avec cette situation. Nous avons écrit ce que nous pensions de cette information. Nous avons cherché d’autres situations avec ces mots. nous avons saisi nos textes.
Adresse du journal Vite Lu; cliquer ici
Le jeune a quitté son pays, il se retrouve sans rien. Marine
Je trouve ça très moche si on veut faire partir ce jeune migrant. Luc
Cette histoire est injuste par rapport à ce jeune car il a traversé la Méditerranée pour venir en France pour réussir sa vie. Quand il voit qu’il va réussir son avenir, il voit sa vie basculer. C’est très regrettable, décourageant, détestable, pas normal. Moustaïda
On est agréable quand on aide des personnes.
On se sent abandonné quand il y a des personnes malhonnêtes.
On n’a pas d’avenir s’il n’y a personne pour vous aider.
On est déçu si une personne sur qui tu comptes n’est pas là quand tu as besoin.
On se sent abandonné quand on ne nous écoute pas.
On est volontaire quand on est courageux, travailleur.
On est révolutionnaire quand on défend ce qui nous appartient.
On est révolutionnaire quand on se bat pour ce que l’on pense.
On est courageux quand on est serviable et travailleur.
C’est n’est pas normal de faire venir des migrants et de les faire partir plus tard.
Ce n’est pas normal de détruire les rêves des personnes.
On est courageux quand on surmonté des difficultés dans sa vie.
On est déterminé quand on veut quelque chose dans la vie.
On se sent trahi quand une personne te trompe.
Moustaïda
On se sent abandonné quand il y a des personne malhonnêtes.
Il n’y a personne pour vous aider.
On est volontaire quand on est courageux, travailleur.
On se sent trahi par des personnes à qui on a fait très confiance.
On est déçu par des personnes .
Eric
On se sent abandonné quand on ne nous écoute pas.
On n’a pas d’avenir si on chasse les migrants .
On se sent trahi par le Gouvernement.
C’est injuste pour le jeune qui commence à voir un avenir.
Ce n’est pas normal de faire venir des immigrants et qu’on les fasse partir plus tard.
On est révolutionnaire quand on se bat pour ce que l’on pense.
On est perdu si on se laisse marcher dessus.
Luc
