Le collectif, au cœur des missions de CLÉ
Une quarantaine de personnes étaient réunies, jeudi 25 avril, à la salle du Temps libre, pour l’assemblée générale de l’association Communiquer, lire et écrire (CLÉ).
Administrateurs, salariés, bénévoles et partenaires présents, ont adopté à l’unanimité les rapports moral, d’activités et financier, présentés par Élodie Morisset, Brigitte Clisson et Jean-Pierre Chevalier, co-président(e)s de l’association, avec Clarisse Dairé, coordinatrice de la structure.
L’équipe s’est adaptée
Alors que l’année 2023 a été marquée par plusieurs arrêts maladie de longue durée, ayant nécessité des recrutements au sein de l’équipe salariée qui compte 11 personnes, l’importance du collectif a été rappelée par Élodie Morisset, en début de réunion. « Les quotidiens et les plannings se sont faits et défaits, a expliqué la co-présidente. L’équipe s’est adaptée. » Elle a mis en avant les bénévoles et administrateurs qui sont intervenus en renfort.
Quant à l’animation de la vie associative, partie intégrante de la vie de CLÉ, au côté de ses missions de centre de formation, en 2023 elle a retrouvé un visage, celui de Salya Petitphar.
L’association en quelques chiffres :
- 11 salariées en 2023
- 53 bénévoles
- 177 apprenant(e)s, dont 86 hommes et 91 femmes, soit 5 de plus qu’en 2022.
- 3 sites : Parthenay, Moncoutant-sur-Sèvre et Secondigny
Un public accueilli qui grandit, des bénévoles plus nombreux, ce sont « plus d’échanges, d’interactions, d’accueil, de nouveauté, de changements ».
Changement au conseil d’administration
Changement aussi au sein du conseil d’administration avec de nouvelles têtes.
Comptant 22 membres, il se réunira lundi 27 mai, pour notamment mettre en œuvre une nouvelle gouvernance, après le départ de deux des trois co-président(e)s, Brigitte Clisson, quittant prochainement Parthenay, et Jean-Pierre Chevalier, ce dernier restant bénévole.
Côté finances
Côté finances, après deux exercices déficitaires (en 2020 et 2021), CLÉ a retrouvé en 2022 et 2023, une situation positive mais toujours fragile, nécessitant d’être « vigilant », comme l’a indiqué le commissaire aux comptes, Mikaël Hugonnet.
Le prévisionnel 2024 montre qu’il faut trouver 40.000 euros pour boucler le budget s’élevant à 320.020 euros.
Pour ce faire, une nouvelle démarche de recherche de mécénat est notamment lancée.
Article signé : Véronique Pétreau, bénévole, membre du pôle communication