L’association CLÉ et la Maison de l’Emploi et des Entreprises de Parthenay et de Gâtine ont organisé une journée sur le thème « Il n’y a pas d’âge pour apprendre » le mardi 19 septembre 2023.
Aux mois de septembre, pendant les journées nationales d’action contre l’illettrisme, Aline Le Guluche est venue témoigner à Parthenay. Elle a appris à lire à 50 ans.
A 14h 30, elle a rencontré des apprenants, des formateurs et des bénévoles à CLÉ. Le soir, de 19h à 20h30, pour tout public au Domaine des Loges, elle a rencontré un public nombreux.
Colette
Voici quelques photos de la rencontre à CLÉ :
Des apprenants ont produit des textes à la suite de cette rencontre :
Le soir, nous étions presque 80 personnes à découvrir le témoignage d’Aline Le Guluche :
Mercredi 20, Aline a rencontré des jeunes de la Mission Locale. Elle est partie ensuite. Elle nous laisse son message :
“Il n’y a pas d’âge pour apprendre.”
Qui est Aline le Guluche ?
A 50 ans, Aline LE GULUCHE s’est lancée dans une aventure courageuse : elle a réappris à lire !
Dans un témoignage touchant, elle nous racontera son parcours, le récit intime de sa vie : son impasse scolaire, les embûches professionnelles, la honte sociale. Nous découvrirons aussi le courage, l’entraide et l’envie toujours de s’en sortir.
Il n’y a pas d’âge pour apprendre.
Pas d’âge pour ré-apprendre.
Pas d’âge pour une nouvelle page dans nos vies.
Aline LE GULUCHE a dit-elle « gagné sa liberté d’expression et une vraie place dans la société ». Au-delà de l’illettrisme, c’est le parcours d’une femme qui s’est battue pour devenir libre.
Aujourd’hui, elle parcourt la France et témoigne. Elle est aussi porte-parole de l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme, et égérie de la Fondation « Write her future » de Lancôme.
- Elle publie fin août 2023 un nouveau livre, “Mon combat contre l’illettrisme” (Editions Prisma).
- Elle avait publié en 2020 : “J’ai appris à lire à 50 ans” (Editions Prisma).
La soirée a lieu dans le cadre des journées nationales d’action contre l’illettrisme.
En France, 2,5 millions de personnes sont confrontées à l’illettrisme (soit plus de 30 000 personnes en Deux-Sèvres). La moitié exerce un emploi.